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Este señor me hizo entrar en Carrefour y ahora desata la guerra en el lujo

21 respuestas
Este señor me hizo entrar en Carrefour y ahora desata la guerra en el lujo
Este señor me hizo entrar en Carrefour y ahora desata la guerra en el lujo
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#17

Re: Este señor me hizo entrar en Carrefour y ahora desata la guerra en el lujo

una pregunta SCO hermes cotiza en la bolsa francesa ?en el cac 40 no la veo ,bueno loreal y l.vuitton son como las PG and j&j de europa verdaderas compañias con un moat aprueba de bombas y de siglos ,que pena no tenerlas jejjej,s2

#18

Re: Este señor me hizo entrar en Carrefour y ahora desata la guerra en el lujo

llevo tiempo sigiuiendo a LVMH y la verdad es que no encuentro el momento para entrar, a ver si baja un 10% o algo y meto algo como inversión. también está PRR (Gucci y más..).

#20

Re: Este señor me hizo entrar en Carrefour y ahora desata la guerra en el lujo

Gracias, Scoralstom, por la info. Las seguiré de cerca. Un saludo!

#21

Re: Este señor me hizo entrar en Carrefour y ahora desata la guerra en el lujo

Si vas por la costa azul tienes que regalar a alguien que quieras un Voitton.
s2

“Los dos guerreros más poderosos son paciencia y tiempo.” (León Tolstoi)

#22

Van a investigar, no se como esta la legislación cuando las entradas son a través de derivados

Cuando pasas de ciertos limites hay que declararlo pero si lo haces con derivados...........

LVMH/Hermès : le gendarme de la Bourse annonce l'ouverture d'une enquête


Une vitrine de la boutique Hermès à Paris, le 25 octobre 2010
© AFP/Archives Miguel Medina
Le gendarme de la Bourse de Paris a annoncé vendredi qu'une enquête serait ouverte sur les conditions dans lesquelles s'est effectuée la montée du groupe de luxe LVMH au capital de son concurrent Hermès.
Le président de l'Autorité des marchés financiers (AMF), Jean-Pierre Jouyet, a indiqué qu'"une enquête sera ouverte par ses services (...) sur les conditions dans lesquelles s'est faite cette entrée" de LVMH au capital d'Hermès.
L'examen de l'AMF portera également sur les mouvements en Bourse enregistrés par le titre Hermès dans les jours précédant l'annonce de LVMH, fin octobre, a précisé M. Jouyet, qui était interrogé sur RMC.
Dans les minutes qui ont suivi les déclarations de M. Jouyet, LVMH s'est félicité de cette annonce, estimant que l'enquête devrait prouver que son initiative avait en tous points respecté la réglementation boursière.
"LVMH est convaincu que cette enquête permettra en effet d'établir, comme il l'a toujours affirmé, et contrairement au procès d'intention que certains lui ont fait, qu'il a, au cours de ces opérations, scrupuleusement respecté la réglementation en vigueur", a indiqué un porte-parole du groupe.
Le numéro un mondial du luxe avait pris les marchés par surprise en révélant le 23 octobre qu'il avait accumulé sur plusieurs années une position de 17,1% au sein d'Hermès, alors que la réglementation française fait obligation de déclarer les franchissements des seuils de 5%, 10% et 15% du capital.
Il avait expliqué quelques jours plus tard qu'il avait réussi ce tour de passe-passe grâce à l'utilisation de produits dérivés.
Ces contrats stipulaient initialement un dénouement en espèces, ce qui dispensait LVMH de les déclarer. Mais les 21 et 24 octobre, des avenants ont été conclus permettant la livraison physique des titres. Avant son offensive, LVMH détenait déjà 4,9% du capital, non déclaré comme il en avait le droit.
M. Jouyet s'était déjà exprimé sur l'affaire, en reconnaissant que le stratagème utilisé par LVMH n'était pas en soi illégal au regard de la loi.
Dans un entretien publié mardi par le journal Les Echos, il avait rappelé qu'un rapport de l'AMF de 2008 préconisait que les instruments financiers utilisés, appelés "equity swaps", soient comptabilisés au même titre que les actions dans les calculs pour les franchissements de seuil.
"Cette proposition n'a pas été retenue dans la loi, c'est fort regrettable", avait alors indiqué M. Jouyet.
Il a réitéré vendredi sur RMC ses critiques.
"La réglementation est mal faite parce que vous pouvez contourner les seuils", a jugé M. Jouyet. "La réglementation française doit être au moins aussi sévère que celle d'autres pays européens (...). Trop souvent, la France reste le Far West en matière de prise de contrôle des sociétés, de dépassement de seuil". "Là il y a deux poids deux mesures et ce n'est pas normal".
"Toute sorte d'instrument qui permet d'acheter des actions d'une autre société doit être déclaré, je ne veux connaître aucune exception", a-t-il insisté.
Le titre LVMH restait insensible à cette nouvelle péripétie, gagnant quelques fractions à 119,45 euros (+0,21%) à 10h00, dans un marché à l'équilibre. En revanche, Hermès perdait 0,86%, à 155,55 euros.

“Los dos guerreros más poderosos son paciencia y tiempo.” (León Tolstoi)

#23

Apuesto por el como el proximo numero 1 de forbes, me encanta su negocio

Bernard Arnault, première fortune d'Europe et homme d'affaires redoutable :


Bernard Arnault le 27 juillet 2007 à Paris
© AFP/Archives Eric Piermont
Première fortune d'Europe et quatrième mondiale selon Forbes, Bernard Arnault, 61 ans, patron de LVMH, a bâti en 20 ans le premier empire mondial du luxe à coups d'opérations souvent fracassantes qui ont forgé sa réputation d'homme d'affaires redoutable.
Dernier coup en date: le rachat de Bulgari, convoité par d'autres concurrents du luxe comme Richemont et PPR, une des rares opportunités prenables dans le secteur.
En homme d'affaires avisé, il a réalisé l'opération avec la famille Bulgari selon un modèle qu'il espère voir faire école chez Hermès, dont il détient un peu plus de 20% à la grande colère des héritiers de la maison aux célèbres sacs et carrés de soie.
Regard bleu acier, silhouette longiligne, Bernard Arnault est "un personnage réservé qui fonctionne à la raison", déclare à l'AFP l'essayiste Alain Minc, proche de François Pinault, ex-PDG du groupe PPR contre lequel Bernard Arnault s'est battu en vain pour le contrôle de Gucci à la fin des années 1990.
L'un de ses meilleurs amis, le milliardaire belge Albert Frère, rencontré il y a une trentaine d'années, assure pour sa part à l'AFP que Bernard Arnault a "énormément d'humour".
Né le 5 mars 1949 à Croix, près de Roubaix, Bernard Arnault assure, à sa sortie de Polytechnique, le développement de l'entreprise de bâtiments et travaux publics de son père.
Après la victoire de la gauche en 1981, ce libéral revendiqué s'exile aux Etats-Unis. Il rentre en France trois ans plus tard et cherche un projet d'entreprise à la hauteur de son esprit de compétition.
Avec la bénédiction de Laurent Fabius, alors Premier ministre, il reprend les textiles Boussac, criblés de dettes. Leur remise à flot se fait au prix d'un plan social drastique et de la cession d'une grande partie des activités. Bernard Arnault garde le joyau du groupe, la maison de couture Christian Dior.

Le PDG de LVMH Bernard Arnault, annonçant les résultats du groupe le 27 juillet 2010 à Paris
© AFP/Archives Eric Piermont
Sa réputation de prédateur grandit à la fin des années 1980 quand il s'arroge la présidence de Louis Vuitton-Moët Hennessy à la hussarde, profitant des dissensions entre les dirigeants des deux maisons pour l'emporter au terme d'un long combat juridico-financier.
Mode, champagnes, parfums: 20 ans plus tard, LVMH truste une soixantaine de marques (Givenchy, Fendi, Céline, Hublot, Tag Heuer, Château d'Yquem, Veuve Clicquot, Hennessy, Sephora) et emploie 80.000 personnes dans le monde pour des ventes attendues autour de 20 milliards d'euros fin 2010.
Le credo du patron: innover tout en préservant l'histoire des maisons, atout essentiel pour conquérir les marchés mondiaux.
"S'il était seulement un raider financier, il aurait scindé son groupe en deux depuis longtemps entre le luxe et l'alcool", estime Alain Minc, pour qui "la volonté de construire un empire est déterminante chez lui".
Bernard Arnault et François Pinault "utilisent la finance pour bâtir l'empire de leurs rêves", résume Alain Minc, proche du président Nicolas Sarkozy.
Bernard Arnault connaît bien lui aussi le chef de l'Etat: il était l'un des convives de la soirée du Fouquet's au soir de son élection en mai 2007.
A ceux qui le traitent de prédateur, le patron de LVMH répond que "les affaires sont comme un match de tennis. On se bagarre et après on se serre la main". Quatrième fortune mondiale, il a connu des hauts mais aussi des bas, dans l'internet notamment.
Pianiste émérite, il fait également partie des grands mécènes français. Son prochain grand projet, mêlant art et architecture, est la "Fondation Louis Vuitton pour la création", en région parisienne, dont le permis de construire a été annulé début janvier.

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